Accueil > blog > Ô toi mon cœur et mes entrailles > Ô toi mon cœur et mes entrailles > Poster
@ Bashô : désolé, j’oublie toujours ... Le titre est le premier vers d’un poème (que je trouve assez joli par ailleurs) d’une comtesse (ou duchesse ?) assez représentative de certains vieux aristos qui utilisent des termes, aujourd’hui perçus comme dénigrants ou insultants, comme ’petit personnel’ ou ’soubrette’ ; elle a juste oublié (ou n’a pas vu) que le XX et le XXIe siècle sont passés par là ;)
@ Narvic : je ne dis qu’ils tendent des pièges (même si, à la lueur du reportage, on pourrait le penser, Pinçon déclarant lui même ’nous sommes un peu faux-culs’ en sortant du premier entretien filmé). Je ne conteste (...)