Dans son discours d’Oslo, le président américain reprend presque mot pour mot les phrases de Niebuhr : « Nous n’avons pas besoin de penser que la nature humaine est parfaite pour continuer à croire que la condition humaine peut être améliorée, a-t-il déclaré. Nous n’avons pas besoin de vivre dans un monde idéalisé pour aspirer à ces idéaux. »