Je ne mets que rarement des commentaires sur les autres blogs.
Il faut pour celà que je connaisse l’auteur, ou alors que le sujet du billet me soit particulièrement familier pour que j’aie l’impression d’apporter quelque chose.
Autant dire, jamais. Ou presque.
Et une fois de temps en temps, rarement, j’ai envie d’ajouter un mot, d’encouragement, d’affection, de réconfort, de compassion.
Ce soir, j’aurais voulu lui laisser un silence, un signe de réconfort, d’affection virtuelle, d’attention.
Il a choisi, sur ce carnet très intime, de ne pas accepter les commentaires, ce qui se comprend vu le niveau de certains, sur son blog officiel.
Alors ce sera ici, même s’il ne le lis pas. Communion tout à fait virtuelle.