Parmi les point du traité Acta, l’un des plus inquiétant est sans conteste la responsabilité voulue par les lobbys des hébergeurs et fournisseurs de services « web 2.0″ (aujourd’hui protégés par la LCEN, Loi de Confiance en l’Economie Numérique). Une fois ces dernier condamnés à faire la police du (...)