Pour le philosophe américain, l’imprévu qui peut surgir à chaque virage, la confrontation avec le risque, l’expression d’une responsabilité individuelle font de la conduite un espace d’autonomie qui nous prépare, d’une certaine façon, à l’idéal de la vie démocratique, par opposition à un tout-sécuritaire totalitarisant. Une pensée originale que nous pourrions tous méditer, mais pas nécessairement en conduisant.