Les auteurs démontrent qu’au cours de l’épidémie, le VIH est devenu de plus en plus insensible aux anticorps neutralisants produits contre lui. Les chercheurs français sont parvenus à démontrer ce phénomène en analysant les variations fines de structure des souches de VIH conservées dans plusieurs collections virologiques. Ces souches provenaient de prélèvements sanguins effectués sur 40 malades entre 1987 et 2010.
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